dimanche 9 octobre 2016

Une rose est une rose, comme un ruban, comme une fleur, comme un dimanche

D'habitude, on dit "Comme un lundi".... Et j'ai horreur de cette expression...
Et aujourd'hui, je me dis "Comme un Dimanche !" et pour moi, cela signifie la fin des vacances.... 
Enfin pas vraiment. Même si je vous ai donné la plume ou plutôt l'appareil photo et que le feuileton de l'été a duré 9 épisodes où vous avez pu apprécier les fleurs et les talents de photographe de vos/nos ami(e)s, il a quand même fallu publier tout cela, accompagné de textes/poèmes et d'un choix musical que - je l'espère - vous avez pu apprécier ou découvrir.
Et vous avez aussi pu voir sur le Blog de La Fleur du Dimanche qu'il y avait aussi des billets en dehors du dimanche, consacrés à la musique, au cinéma, aux expositions, et ... aux vacances - même si les CP de VALVaE (Carte Postale de Vacances A Laquelle Vous avez Echapé) n'arrivent pas très rapidement.

Pour la rentrée, une pensée d'actualité en forme de ruban rose qui nous renvoie aussi au deuxiemme épisode de notre feuilleton estival avec les roses de Raymond P. dont parmi la brassée de fleurs qu'il m'avait envoyées, j'en avais choisies trois, elles sont là:
Rose de Paymond P.
http://lafleurdudimanche.blogspot.fr/2016/08/cueillez-des-aujourdhui-les-roses-de-la.html


En complément, voici une "Ipomée" ou "volubilis":


Ipomée volubilis  - Photo : Raymond P.

L'été a été terrain de chasse aux fleurs, mais aussi aux papillons, et pour la photo du jour, ce papillon fait un clin d'oeil à Cléo W. dont je salue les talents de photographe de Fleurs, de Papillons et autres animaux sauvages, et également sa grande connaissance dans ce domaine. Elle saura sûrement nommer papillon ci-dessous: 

Fleurs et papillon: Ecaille Chinée - Photo : lfdd

En guise de TVA, un texte que je partage avec vous, à découvrir tel quel (si vous en avez trouvé l'auteur, faites-le moi savoir):

"Il faut avancer, avancer, sûr de soi, de sa direction. Les autres sont resté à l'étape. Il n'y a à attendre nulle aide, nul secour. On doit vivre et mourir ainsi. Arrive-t-on jamais où l'on voudrait aller?
Pourtant, est-ce faiblesse? si j'aime, si une femme que j'aime m'aime, alors mon courage est immense. Si j'aime, si une femme que j'aime m'aime, tout change. Il suffit d'une pensée fidèle, d'une main donnée, d'un visage offert, d'une communion sans retour - et avec un seul être -, pour que soient justifiés la marche en avant, le refus d'abandonner, la faim, la soif intérieures. Pourquoi? Je ne sais. Peut-être l'amour est-il ce levain qui éveille soudain la matière et lui fait souvenir qu'elle contient en elle de nouvelles naissances."


En contrepoint, deux vidéos, la première, images filmées lors du Festival Musica qui s'achève, un "Adieu" - Abschied de l'opéra "Donnerstag" donné à Bâle dimanche dernier - je vous en laisse sentir l'ambiance sur la place devant le Théâtre de Bâle:





Et plus léger, pour un dimanche, non pas comme un lundi, mais - avec un clin d'oeil pour montrer que la question du "genre" ne date pas d'hier: "Comme un garçon" chanté d'abord par Sylvie Vartan et dans la deuxième version avec Gilbert Bécaud et Sacha Distel

Sylvie Vartan "Comme Un Garcon"






Sylvie Vartan - Comme un Garçon - 1968





Bonne Rentrée

Bon Dimanche
et à dimanche prochain (au plus tard !)

La Fleur du Dimanche

1 commentaire:

  1. Cléo a répondu :
    Pfoutt...comme dans un souffle léger , ton papillon s'est envolé. A peine le temps de l'apercevoir....CE FUT...Une belle dame au jupon rouge : ECAILLE CHINEE. Il a passé par ici, Il repassera par là.. Ne bougeons plus... Il a réapparu par ici .!

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