Moisson de films sur les problèmes des adolescents au cinéma ces deniers temps. Je ne parlerai pas de "The tree of Life" de Terrence Malik, n'ayant pas "supporté" la lourdeur cosmique de ce film qui remue la terre et le ciel et tout l'Univers et la création pour parler de problèmes d'éducation. Apprenant à l'instant qu'il a eu la Palme d'or à Cannes, cela ne me surprend qu'à moitié mais je vais attendre d'avoir un peu plus de courage pour y retourner.
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| Le gamin au vélo - J.P. et Luc Dardenne |
Je vous recommande par contre chaudement d'aller voir "Le gamin au vélo" des Frères Dardenne avec le jeune Thomas Doret, Cécile de France retournée dans sa Belgique natale pour notre grand bonheur et Jérémie Rénier en père perdu (éperdu). Les question d'éducation, d'intégration et de lien lâchés, coupés, renoués ou en restructuration sont magnifiquement révélés dans ce film intelligent qui montre la construction d'un futur homme.
Un autre film traitant de ce délicat sujet du passage de l'adolescence, vu sous l'angle de la difficulté de communiquer, d'aimer et des relations avec les autres, jusqu'aux brimades, jeux dangereux et vengeances, c'est le beau, bien qu'un peu baroque, film de Paolo Giordano: "La Solitude des nombres premiers".
Et comme je vous l'avais promis hier, plutôt dans le genre documentaire, si vous avez encore la chance de le voir, le très beau film d'Anne Linsel et Rainer Hoffmann, "Rêves dansants, sur les pas de Pina Bausch", qui suit le travail de recréation avec des adolescents d'une pièce de Pina Bausch "Kontakthof" qui avait déjà été remontée avec des personnes âgées. Cette fois-ci on assiste dans une intime proximité à cette démarche de recréation aux questionnements de jeunes adolescents (garçons et de filles) vis-à-vis de l'Art et du spectacle, mais surtout de leur relation au coprs, le leur et celui de l'autre dans une prise de conscience magnifiquement sentie.
Un autre film traitant de ce délicat sujet du passage de l'adolescence, vu sous l'angle de la difficulté de communiquer, d'aimer et des relations avec les autres, jusqu'aux brimades, jeux dangereux et vengeances, c'est le beau, bien qu'un peu baroque, film de Paolo Giordano: "La Solitude des nombres premiers".
Et comme je vous l'avais promis hier, plutôt dans le genre documentaire, si vous avez encore la chance de le voir, le très beau film d'Anne Linsel et Rainer Hoffmann, "Rêves dansants, sur les pas de Pina Bausch", qui suit le travail de recréation avec des adolescents d'une pièce de Pina Bausch "Kontakthof" qui avait déjà été remontée avec des personnes âgées. Cette fois-ci on assiste dans une intime proximité à cette démarche de recréation aux questionnements de jeunes adolescents (garçons et de filles) vis-à-vis de l'Art et du spectacle, mais surtout de leur relation au coprs, le leur et celui de l'autre dans une prise de conscience magnifiquement sentie.
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