dimanche 26 juillet 2015

L'été, les blondes sont à 1% - les blonds aussi ?

Si vous suivez bien la Fleur du Dimanche - voir dimanche dernier - la Fleur est en vacances.
Mais il ne faut exagérer, il faut quand même l'arroser (du matin), et ne pas faire la "blonde" !


Lys blond en vacances - Photo: lfdd

Sinon, voilà le résultat:

Lys blond desséché - Photo: lfdd


Ce n'est pas glorieux pour un Lys !
Ni pour une blonde.

Comme je suis en vacances, le thème du jour m'a été "soufflé" par une "fan" blonde qui me permet de vous faire découvrir son choix musical: C'est Anne Sylvestre avec sa chanson: Les blondes

Sachez aussi - pour expliquer le titre - que les blondes font beaucoup parler d'elles, relativement à la proportion occupée dans la population mondiale: 1% !

Et voila ce qu'en dit Anne:





Quand on se trouve un peu moins tarte 
Qu'on se regarde sans horreur 
Quand les affaires enfin repartent 
Quand ça grattouille côté cœur 
Quand on a fait tous les régimes 
Et qu'on a perdu ses coussins 
Ça serait carrément un crime 
De n' pas exploiter le terrain 
Bref on va pouvoir vivre un peu 
Regarder l'avenir en bleu 

C'est alors qu'arrive une blonde 

En deux secondes 
Le ciel s'obscurcit 
Il suffit qu'arrive une blonde 
Pour que le monde 
Entier nous oublie 
Plus personne qui nous réponde 
Ils sont là qui lui font la haie 
Toujours, il arrive une blonde 
Et on la hait 

On n'est pourtant pas repoussante 

On s'est épilé les mollets 
On a l'incisive éclatante 
L'œil crayonné, les ongles faits 
Petit boudin, grande saucisse 
Même combat, même drapeau 
Grand échalas ou courte cuisse 
La séduction ou le tombeau 
On se met dans tous nos états 
Pour émerger un peu du tas 

C'est alors qu'arrive une blonde 

En deux secondes 
Le ciel s'obscurcit 
Il suffit qu'arrive une blonde 
Pour que le monde 
Entier nous oublie 
Plus personne qui nous réponde 
Ils sont là qui lui font la haie 
Toujours, il arrive une blonde 
Et on la hait 


Bien sûr, il y a les teintures 

Mais le problème n'est pas là 
La blondeur, c'est une nature 
On est blonde ou on ne l'est pas 
Elles ont la beauté bienheureuse 
On les regarde, c'est normal 
Tandis que nous, les besogneuses, 
On brille mais on a du mal 
À nous barrettes et chapeaux 
Autant dire les grands travaux 

C'est alors qu'arrive une blonde 

En deux secondes 
Le ciel s'obscurcit 
Il suffit qu'arrive une blonde 
Pour que le monde 
Entier nous oublie 
Plus personne qui nous réponde 
Ils sont là qui lui font la haie 
Toujours, il arrive une blonde 
Et on la hait 

Et quand plus rien ne nous console 

Ni qu'on se roule à nos genoux 
Ni qu'on nous jure qu'on est folles 
Qu'ils sont tous amoureux de nous 
Que d'ailleurs les blondes, on s'en fiche 
Et qu'on préfère les boudins 
Que Marilyn, c'est de la triche 
Et qu'elle était même pas bien 
On essaye d'y croire un peu 
Mais on sent que c'est pas sérieux 

Alors on imagine un monde 

Peuplé de blondes 
Ça serait joli 
S'il n'y avait plus à la ronde 
Rien que des blondes 
On le serait aussi 
Plus de jalousies vagabondes 
À nous aussi, ils feraient la haie 
Alors, on se fait teindre en blonde 

Et on se hait


Anne est une brune (une vraie?) qui a de l'humour..
Je vous en donne la preuve par deux :


Lalala, lalala 
Lalala, lalala 

Ma voisine ne sait jouer que ça 
Gnagnagna, gnagnagna 
Du matin au soir il n'y en a 
Lalala, lalala 
Que pour Élise 
Et supposons 
Que je lui dise 
A ma façon : 
Depuis le temps que tu entends ça 
Gnagnagna, gnagnagna 
Est-ce que ça ne te saoule pas ? 
Lalala, lalala 

Mais qui était cette Élise 
Qui défrise 
Nos pianos 
Qui sans fin se gargarise 
Et se grise 
De trémolos ? 
Dis Ludwig si tu avais imaginé 
Que ça tournerait comme ça ha, ha 
Est-ce que tu n'aurais pas fignolé 
Rajouté un bémol ici ou là, ha, ha 
Est-ce qu'à ton Élise tu n'aurais pas pu 
Dire tout ça de vive voix ? 
Lalala, lalala 


Comment croire qu'Élise écoutait 
Sans arrêt, sans arrêt 
Ce machin qui vraiment ne me fait 
Pas marrer, pas marrer? 
Oui mais Élise 

Elle aimait ça 
Qu'on lui redise 
Blablabla 
Pourquoi écrire avec un piano 
Les p'tits marteaux, les p'tits marteaux 
Quand c'est si simple avec un stylo 
Et puis des mots, rien que des mots 

Mais cette garce d'Élise 
Traumatise 
Le bon Ludwig 
S'il envoie ses grosses bises 
Elle les veut en musique 
Ah si seulement elle avait pu se taper le facteur 
On n'aurait pas ha, ha 
Eu à se farcir tous ces doubles soupirs 
Et tous ces "ne m'oubliez pas" ha, ha 
S'il avait pensé à lui téléphoner 
On n'aurait pas écopé ça 
Lalala, lalala 

Chaque jour à l'heure du courrier 
Et allez, et allez ! 
Il faut qu'elle vienne massacrer 
Et taper et tamponner 
Mais chère Élise 
Il serait bon 
Que vous accusiez réception 
Qui sait, mais si vous lui répondiez 
Par courrier recommandé 
Elle pourrait apprendre par coeur 
Enfin le Gai Laboureur 

Je sais, je sais que je m'en lasserais 
Mais ça lala, mais ça lala 
Mais ça me changerait


Allez, bon dimanche, bel été, et à dimanche prochain pour la suite des aventures...

La Fleur du Dimanche

dimanche 19 juillet 2015

Le Lys paresseux en vacances

C'était prévu (voir dimanche et le 14 juillet), la Fleur du Dimanche se met en congés et vous offre une fleur et des chansons.

Pour faire suite (dans les idées), le Lys du jour:


Lys paresseux - Photo: lfdd

Lys paresseux - Photo: lfdd



Et les trois chansons du jour en hommage au chanteur canadien Plume Latraverse:

Ne pleure pas Petite Fille (attention à la chute!):





Une version sympathique - réalisée par des élèves dans un cours d'infographie au Centre de formation professionnelle de Verdun - sur le rock "Bopépine":




Et une chanson fleuve (programme): "Le Vaste Monde (La Vie Nous Rattrape);





Bon Dimanche,

A dimanche prochain et bonnes vacances...

La Fleur du Dimanche 

mardi 14 juillet 2015

14 juillet: Qu'il est doux de ne rien faire quand tout s'agite autour de vous...

Je vous l'avais annoncé dimanche dernier: Je vais me déconnecter !
Et puis je vous l'avais demandé aussi: envoyez-moi vos photos de fleurs...  

Mal m'en a pris: mon fidèle lecteur réactif (mais pas nucléaire) m'a aussi sec envoyé dans la canicule dominicale sa photo "Fleur de Lys".
Je ne pouvais pas ne pas lui rendre hommage en ce 14 juillet de commémoration de la prise de la Bastille et de chute de la royauté en la mettant en exergue:


Lys du 14 juillet - Photo: Raymond P.


Et comme promis, comme je ne travaille plus, je vous offre juste trois chansons d'occasion:

La chanson de Coluche "Sois Fainéant":




En ce 14 juillet, jour de bal, celle de Bourvil, le Petit Bal Perdu" dans la version chorégraphiée par Philippe Découflé:



Et pour mémoire, le Bal perdu - ou plutôt le concert perdu, mais gagné par Serge Gainsbourg à Strasbourg - version live 1980 (avec un retour de France3 Alsace sur l'événement suite à la sortie du Film de Johann Sfarr "Gainsbourg, vie héroïque" et version disque de "Aux Armes et ceatera":












Défilez(-vous) bien !

Et bon bal..

Et pour clore la journée, je vous offre un extrait du feu d'artifice de Strasbourg:

1. L'enfant aux étoiles:

Feu d'artifice: Le ciel en étoiles - Photo: lfdd


2. Les fleurs naissent des étoiles: 

Feu d'artifice: Le ciel en fleur - Photo: lfdd


3. Le ciel s'embrase:


Feu d'artifice: Le ciel s'embrase - Photo: lfdd


3. Le ciel s'embrase:




La Fleur du Dimanche 

P.S.: Comme je suis paresseux, je ne vous met pas les liens vers les 14 juillet des années passées, mais je vous invite bien sûr à y faire un tour ... Vous y découvrirez le "Tango Corse" et une version de la Marseillaise hongroise..
P.P.S.: Comme la Fleur de Lys est également la Fleur du Québec, je peux vous annoncer un chanteur québécois pour dimanche prochain....

dimanche 12 juillet 2015

Arrêtez de, de... connecter - Ne rien faire, c'est bien faire aussi...

Les études scientifiques l'ont prouvé, ne rien faire, se déconnecter, c'est bénéfique, la preuve par l'image:


Pelargonium - Photo: lfdd


J'ai arrêté d'arroser le pélargonium, et il fleurit!


Pelargonium - Photo: lfdd

On appelle cela le stress hydrique!


Du côté du cerveau, c'est pareil, de temps en temps, il faut du temps aux neurones de se rejouer ce qui vient de se passer pour réorganiser ce que vous venez de vivre, alors la sur-sollicitation, cela peut amener au "burn out". 
Mais l'été, c'est plutôt les coups de soleil qui brûlent, alors profitons en pour ne rien faire.....

Enfin je parle pour moi, vous je ne sais pas, mais juillet arrivé, c'est le début d'une pause estivale, et je ne vous ai pas sollicité pour m'envoyer vos meilleures photos de fleurs pour les publier... Mais vous pouvez me les envoyer (celles de vos vacances ou celles de vos jardins ou bouquets) - je les publierai à la rentrée (cela me fera des vacances, à moi..).

Je vous annonce donc que La Fleur du Dimanche passe en mode "été", plus "cool", avec fleurs et chansons à venir butiner sur le site chaque dimanche matin et je vous souhaite des belles et enrichissantes vacances.

Et vous offre quelques chansons pour "ne rien faire"...

Et un clin d'oeil parce que je "suis en train d'écrire":




Allez, un Pink Martini:




Et le "Roi de la Paresse", salvateur:




Bel été...

La Fleur du Dimanche 
   

dimanche 5 juillet 2015

Champagne, pour les 500 billets et rafraîchir le palais

La chaleur est partout, alors pour se rafraîchir, une solutions: aller dans les caves... de Champagne!

D'autant plus que la Champagne vient d'être inscrite au patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco (avec également la Bourgogne).


Lys Champagne - Photo:lfdd


Et pour fêter dignement les plus de 500 billets de la Fleur du Dimanche depuis le 20 février 2012: "Naissance du'une Fleur", sabrons le champagne.
Et Merci à vous, fidèles lectrices et lecteurs ou passagers du hasard qui y trouvez ce que vous cherchiez - un "coquelicot" ou un "mouton bleu" par exemple, ou le "nuancier de Gerhard Richter", ou les "pantoufles d'Einstein" - ou ne cherchiez pas - je pense entre autres à "l'ombre d'Einstein" ou à "habemus papam histoire vraie" ... 


Lys Champagne - Photo:lfdd

Et pour finir avec un (ou deux) TVA,

"Le champagne, si on a le temps de l'écouter, fait le même bruit dans sa mousse et son verre que la mer et le sable." 
(Max Jacob) 

"Et pourtant, qu'est-ce que le champagne? Deux fois rien. Des bulles avec de la lumière autour. Mais quelle lumière! D'une blondeur légère, légère... D'une transparence aérienne, presque musicale. Un autre air de Mozart, peut-être celui de la Reine de la nuit. Où? Mais dans la "Flûte enchantée", naturellement"
Pierre-Jean RÉMY


Je vous invite à déboucher la bouteille et à écouter le bruit du sable...

Et Champagne !




Un grand bravo aux élèves de l'Institut de l'Internet et du Multimédia qui ont mis en image cette chanson de Jacques Higelin..


Bon Dimanche

La Fleur du Dimanche

mercredi 1 juillet 2015

La retenue de l'Art ténu, ou l'Art, terrain miné ?

Il y a une semaine, je vous avais parlé de l'art dans l'espace public, et - de manière liminaire - du danger de l'Art dans cette position...

L'Art dans les Musées, même si quelquefois il appelle la "Réaction", est en quelque sorte protégé par les murs de l'institution. Quand il se trouve confronté - ou plutôt quand le quidam - est confronté à une expression artistique, le résultat peut être tout autre.

Mais dernièrement, nous avons été confrontés, dans le domaine de l'expression artistique, à un autre type de situation:
La fragilité, la discrétion, la prise de risque du retrait, du non spectaculaire.

C'est peut-être un hasard, mais deux spectacles de danse et une exposition jouent de ce registre qui peut désarçonner le "regardeur".

C'était le cas pour le spectacle "Bach/Passion/Johannes" de Laurent Chétouane qui a semé une certaine stupeur sinon un désarroi auprès des spectateurs, clivant la salle en deux - on n'en est pas venu à l'affrontement, mais quelques spectateurs qui s'attendaient à une "Passion Pascale" - surtout pour des aficionados de Saint Guillaume à Strasbourg, n'ont pas apprécié la ligne directrice du metteur en scène qui s'est expliqué lors d'un débat à la Librairie Kléber à Strasbourg: "J'ai volontairement joué sur une équipe réduite et fait chanter des musiciens dont ce n'était pas le rôle principal pour montrer cette fragilité de l'histoire. De même, j'ai commencé la pièce par la fin, parce qu'ainsi nous savons où nous allons..."

Nous avons eu la même surprise avec Anne Teresa de Kersmaeker au Théâtre de la Ville (et au Festival Montpellier Danse) avec "Golden Hours (As you like it)", adaptation de la comédie de Shakespeare "Comme il vous plaira" et sur l'album "Another Green World" de Brian Eno. Elle pousse ses danseur à "Danser comme on parle, comme on marche, comme on respire...". 
Et pour ceux qui s'attendaient à de magnifiques chorégraphies, envolées et tableaux d'ensemble, ont pu être surpris - le début sur la chanson augurait pourtant de belles idées.

en ce qui concerne l'Art, la nouvelle exposition à la Halle Verrière de Meisenthal travaille le même registre: discrétion, interrogation, surprise et décalage fin.

L'exposition "Glassworks" d'Ayse Erkmen - artiste d'origine turque et habitant Berlin, qui a déjà participé à de nombreuses manifestaions internationales (Venise, Istanbul, Shanghai, et Skulptur Projekte Münster 97) est faite pour surprendre et interroger. Dans cette ancienne verrerie, le visiteur devra bien regarder pour voir l’installation.
Les "Glassworks" ne sont que des plaques de différentes couleur et découpées de différentes manières qui couvrent les lumières qui ont été abaissées à l’échelle humaine, leur donnant un sens nouveau. 
Et en journée, il faut se concentrer. 
Il faudra revenir le soir, la lumière tombée, pour en voir un deuxième aspect.

Des nocturnes sont annoncées cet été, il faudra en profiter.
Je vous en donne un aperçu - diurne - pour commencer.

Glassworks - Ayse Erkmen - Meisenthal - Photo: lfdd

Glassworks - Ayse Erkmen - Meisenthal - Photo: lfdd

Glassworks - Ayse Erkmen - Meisenthal - Photo: lfdd

Glassworks - Ayse Erkmen - Meisenthal - Photo: lfdd

Glassworks - Ayse Erkmen - Meisenthal - Photo: lfdd

Glassworks - Ayse Erkmen - Meisenthal - Photo: lfdd

Glassworks - Ayse Erkmen - Meisenthal - Photo: lfdd


Juste à côté, vous avez un superbe travail plein d'humour d'Oliver Leroi "La ligne de Départ" sans les locaux d'Artopie 


Pour finir sur le thème de l'art mettant en danger - ou de l'Art en danger, je vous propose le texte de Jean Pierre Raynaud, dont une oeuvre "Dialogue avec L'hitoire", cadeau de la Ville de Paris (à l'époque de Jacques Chirac) à  la Ville de Quebec vient d'être démolie à la pelleuteuse !

«Les oeuvres d'art ne sont pas faites pour être aimées mais pour exister. Je sais depuis toujours que devenir artiste était, contrairement à ce que l'on pense, une situation inconfortable, et même dans certains cas, à haut risque. C'est peut être aussi cela le projet artistique: rencontrer l'autre dans sa totale liberté ou dans la totale confusion de sa pensée.
Les oeuvres, que vous les aimiez ou pas, peuvent se réveiller et ont la capacité de faire surgir de chaque individu, des instants éblouissants, ou des réactions d'un appauvrissement affligeant. Toutes les œuvres d'un artiste sont des autoportraits et la stèle de Québec n'échappe pas à cela.
Il faudrait réfléchir... Pourquoi un dérisoire bloc de ciment et de marbre suscite malgré le silence qu'il cultive, une telle violence? Comment une jetée en pâture a-t-elle pu se produire en place publique, accompagnée d'une dramaturgie, par pelleteuse interposée en action? Ici le voyeurisme n'est pas innocent.
Dans nos sociétés, la destruction mériterait une analyse plus approfondie, car l'ayant pratiquée volontairement sur mon oeuvre «LA MAISON 1969-1993», j'en avais toute légitimité.
Si Daesh fracassant des statues antiques nous choque autant, c'est à travers la scénographie de mise à mort de ma stèle que s'est joué mon procès. En dehors du débat “j'aime ou je n'aime pas”, la destruction ici a une portée politique et sociale. Le constat que j'en fais est: le monde actuel dans son intolérance est incapable d'accepter la différence et l'on se retrouve l'étranger, l'autre, l'indésirable.
La responsabilité vous appartient maintenant, élus ou particuliers, de faire apparaître ou disparaître ce dérisoire moment d'histoire." Jean Pierre RAYNAUD

A méditer

Jean-Pierre Raynaud - Dialogue avec l'histoire - Québec


Rappel des expositions dans le Nord de l'Alsace et les Vosges du Nord:

A Brumath au Jardin de l'Escalier
"Que des Bols" avec des Bols d'Artistes
Et l'exposition de l'été 
"Nouveaux Territoires, les peintures de Michèle Schneider

A Haguenau à l'Espace Saint-Martin"Métamorphoses" dialogue entre patrimoine et création"

A Uttenhoffen au Jardin de la Ferme Bleue"Danse" de Béatrice Botegger

A Meisenthal, à la Halle Verrière Glasworks d'Ayse Erkmen
et juste à côté Artopie: Olivier Leroi "La ligne de Départ"


Bonnes Visites


La Fleur du Dimanche