Une exposition rétrospective "alpha omega" présentant ses travaux de jeunesse en regards de ses dernières réalisation vient de démarrer le 24 janvier et est visible jusqu'au 24 mai 2016.
Premier hommage posthume (pas volontaire) après celui du Centre Georges Pompidou l'été dernier.
La Fleur du Dimanche ne peut que s'associer à cet hommage par une libre interprétation d'une des thématiques qu'a creusé Gofffried Honegger à travers une publication "Le journal sentimental d'une mauvaise herbe" dont je vous livre la note d'intention de l'auteur et la couverture:
« Au nom de toutes les mauvaises herbes du monde, je remercie mon éditeur de publier des extraits de nos journaux intimes. En effet, la vie devient pour nous chaque jour plus difficile. Les seuls qui comme nous souffrent de l'ignorance sont les intellectuels dans le monde entier.
Si nous, les mauvaises herbes, nous voulons donner au monde un peu de couleur, montrer qu'être pauvre ne veut pas dire être malheureux, les intellectuels sont des gens persuadés qu'avec leur art ils seront capables, sinon de changer ce monde, du moins d'apporter un peu plus de justice, montrer que la vie dans tous ses aspects témoigne du miracle de vivre.
Oui, nous les mauvaises herbes et les intellectuels, nous portons en nous les seuls germes qui un jour seront le début de la création d'un paradis sans pommier et sans serpent. » Gottfried Honegger
Et comme l'on dit "Unkraut vergeht nicht - la mauvaise herbe ne meurt jamais", rendons-lui hommage en photo:
Hommage à Gottfried Honegger - Photo: lfdd |
Hommage à Gottfried Honegger - Photo: lfdd |
Hommage à Gottfried Honegger - Photo: lfdd |
Hommage à Gottfried Honegger - Photo: lfdd |
La Fleur du Dimanche
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