Vous êtes formidable, ce sont vos fleurs maintenant qui sont offertes et transmises à tous.
Les premières, cadeau d'Alexis pour sa grand-mère, à l'occasion de la fête des grand-mère sont devenues un superbe croquis de "crocus et perce-neige" de Jean pour Martine, et qu'elle (et lui) vous offrent avec délicatesse.
Croquis de Crocus et Perce-Neige - Jean Jérôme |
Les suivantes, réponse-miroir à l'hellébore de dimanche dernier de Béatrice, sont celle du jardin de Martine qui ont "surmonté" le gel - comme celle de François, et dont j'attend la photographie que son artiste de fille nous offrira, si l'hellébore est là encore.
Hellébore du jardin de Martine - Photo: Martine F. |
Pour Martine, et pour tous les amoureux de la nature, je pense qu'il est temps d'aller voir les anémones sur la colline de Scharrachbergheim ou de Westhalten. Elles ont peut-être encore un peu froid, mais par le beau soleil qui s'annonce, elles devraient chercher cette lumière de fin d'hiver...
L'année dernière elles étaient là le 6 mars.
Je profite de ce "retour en arrière" pour vous offrir, pour ceux qui ne l’auraient pas eue, la "rose des Femmes" du 8 mars et vous inviter à aller voir les expositions commencées ou à venir, dont celle de Madeleine Millot-Durremberger et In Extremis.
J'ai aussi le plaisir de vous annoncer le passage des 5.000 visiteurs et pour trois pages, celle des 100.
Le première étant celle du film sur Sherlock Holmes à Strasbourg:
http://lafleurdudimanche.blogspot.com/2012/01/le-cinema-du-lundi-lexplosion-de.html
Le deuxième le mariage du coquelicot rouge et du mouton Bleu:
http://lafleurdudimanche.blogspot.com/2011/07/coquelicot-rouge-et-mouton-bleu.html
Elle a dépassé sur le fil notre célèbre "Fabiola", hélas disparue et sa quête par Francis Alÿs visible en mai dernier à Bâle au Musée Historique:
http://lafleurdudimanche.blogspot.com/2011/05/lexpo-du-mercredi-fabiola-la-peinture.html
En guise de TVA, un poème de Rainer Maria Rilke, cité récemment par l'artiste Clément Montolio:
"Combien a-t-on fait aux fleurs
d'étranges confidences,
pour que cette fine balance
nous dise le poids de l'ardeur.
Les astres sont tous confus
qu'à nos chagrins on les mêle.
Et du plus fort au plus frêle
nul ne supporte plus
notre humeur variable,
nos révoltes, nos cris -,
sauf l'infatigable table
et le lit (table évanouie)."
Extrait de: Vergers (1924/1925).
J'en profite pour corriger une erreur commise à la lecture du poème: Il a été écrit en français par Rilke.
Bon Dimanche et belles ballades
La Fleur du Dimanche
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