dimanche 27 octobre 2019

Comme un dimanche d'heure d'hiver, ou comme un lundi...

Il y a sept ans, La Fleur du Dimanche avait les "boules" à l'arrivée de l'heure d'hiver et vous donnait la recette pour l'heure d'hiver:
AVancer ou REculer la montre ? (la solution est ici):
Neige, Boule de Nerfs, c'est l'Heure d'Hiver..

Aujourd'hui, le  fusain de l'automne nous donne l'occasion de nous pencher sur le lundi et sur le discours.....


Fusain - Photo: lfdd

En guise de TVA, une réflexion autour de l'expression: "Comme un lundi".


En général, ces trois mots évoquent en général un état d'esprit plutôt négatif:
- le lundi est un mauvais jour (le week-end est plutôt agréable),
- c'est le début d’une semaine d’un travail qu’on n’aime pas, et on souffre et il faut attendre le vendredi pour s'en sortir.
  
Il y a aussi l'expérience de Pierre Bergounioux avec son livre "Lundi" dont parle Eric Loret dans le Monde du 15 juillet 2019:
« Lundi » : Pierre Bergounioux voit lundi à sa porte
"L’expression française est ... « comme un lundi ». Mais la vertu pétrifiante et contaminante à la fois, refluant, de l’ennui calendaire demeure: « La physionomie du premier jour de la semaine ­intensifiait ou laissait à nu la nature profonde de l’endroit, l’exiguïté d’une sous-préfecture lointaine, dans une région ­rurale déshéritée », note l’écrivain Pierre Bergounioux dans Lundi, très bref récit personnel où il ­entreprend de circonscrire les « lundis de l’enfance et de ­l’adolescence » après les avoir « évités » dans ses autres ­textes autobiographiques. Ce jour-là est sous le signe des « gneiss (…) où nous nous enfoncions, le lundi après-midi, avec mon père » : un feuilletage de roche à la fois lisible et insignifiant. Loin d’être limités à vingt-quatre heures, les lundis sont une chose qui défie la temporalité : «Dans mon souvenir et, peut-être, dans la réalité, ils ont la teinte mauve, funèbre des matins d’octobre puis atone, blanchâtre de la mi-journée.» Ceux de Bergounioux durent sept ans: il n’en sera délivré qu’en arrivant à l’internat.


Fusain - Photo: lfdd


Sinon, je vous propose une solution simple. Si à la question: "Comment ça va?" on vous répond: "Comme un lundi." répondez:
"– Super ! vous allez bien alors ? moi j’adore le lundi."

Ou alors, suivez les conseils de L'Ivresse littéraire:

Lisez "Comme un lundi" de Thomas Vinau, et plus jamais vous ne verrez ce jour de la même manière. Plus jamais, il sera un jour morose même si le temps n'est pas rayonnant, même s'il faut reprendre le chemin du bureau, même s'il y a de petits tracas. D'ailleurs, vous ne verrez probablement plus aucun jour de la semaine de la même manière. C'est ainsi, lorsqu'on aspire, respire les pages de proses qui contiennent le talent de Thomas Vinau. C'est ainsi, lorsqu'on déguste sa poésie.
     "Je voudrais juste garder quelque chose. Quelque chose de vivant. Autre chose que la peur de le perdre. C'est la raison pour laquelle j'écris ces mots. Ce n'est pas de la littérature. C'est de l'amour. J'écris comme on ferme les yeux en embrassant quelqu'un." 

Ou allez voir l'exposition "Comme un lundi" d'Eve Guerrier à la Vitrine des Arts à Bischwiller jusqu'au 10 novembre ( voir les expositions dans mon billet du 26 octobre), elle vous dira ce qu'elle pense des lundis et des autres jours de la semaine...

Tout est affaire de  discours... A propos de discours, ce n'est pas une histoire de lundi, mais une Histoire bien plus grave, celle de la Langue LTI (Lingua tertii imperii, c’est-à-dire "la langue du IIIe Reich") qu'a analysée Victor Klemperer.
Dont il dit (voir l'article de Virginie Bloch-Lainé "Victor Klemperer, décrypteur de la langue totalitairedans Libération le 8 octobre 2019 :
Le nazisme s’insinue dans la chair et le sang du grand nombre à travers des expressions isolées, des tournures, des formes syntaxiques qui s’imposaient à des millions d’exemplaires et qui furent adoptées de façon mécanique et inconsciente. Les mots peuvent être comme de minuscules doses d’arsenic : on les avale sans y prendre garde, ils semblent ne faire aucun effet, et voilà qu’après quelque temps l’effet toxique se fait sentir», écrit Klemperer dans LTI. Le philologue insiste sur l’indigence de la nouvelle langue : elle ne se distingue pas en inventant des mots, mais en recyclant ceux qui existent déjà, et en les matraquant. Par la répétition du sens perverti d’un mot, le régime nazi parvient à normaliser l’avilissement de certains termes et la valorisation de champs lexicaux, celui de la guerre notamment. Ainsi, Aktion nomme sous le IIIe Reich «les opérations de massacre» ; Sturm, «tempête», se retrouve synonyme d’«assaut» ; Figuren («les marionnettes») désigne pour les nazis les cadavres exhumés pour dissimuler l’extermination."
Sur ce sujet, d'actualité, Frédéric Joly, auteur d'un livre sur Victor Klemperer et ce sujet donnera une conférence intitulée "Quand la langue devient un poison" le jeudi 7 novembre à 18 h 30 à l’Aubette;
A propos de son livre: "La Langue confisquée - Lire Victor Klemperer aujourd'hui":
Tout au long du règne d'Hitler, Victor Klemperer prend note, dans son Journal, des graves distorsions infligées à la langue allemande par le nazisme. Les enseignants seront désormais soumis à une "révision nationale et politique" – comme les voitures, note-t-il en 1934. On parle de "système" pour désigner le régime des années de Weimar, vilipendé en tant que régime parlementaire et démocratique "enjuivé". Quant à l’adjectif "fanatique", il passe du registre péjoratif au registre laudatif ; le terme "libéral", lui, devient, à l’inverse, péjoratif, avant de disparaître tout à fait au profit de "libéraliste". Klemperer assiste en fait à une sorte d’inversion sémantique généralisée, dont il note chaque manifestation dans son Journal. Il en tirera LTI, grand livre sur la manipulation de la langue par l’idéologie.
La langue confisquée restitue sa démarche, ce geste critique qui aide à comprendre comment on adhère à un langage, quel qu’il soit. Car la langue est un révélateur. Elle ne ment jamais: c’est elle, toujours, qui dit la vérité de son temps. Frédéric Joly, lisant Klemperer, nous aide ainsi à faire face à notre temps, ce temps de repli identitaire et de « post-vérité », un temps d’inquiétantes résurgences sémantiques aussi, où se voit brouillée la distinction essentielle entre le vrai et le faux.

Sinon, pour vous en sortir, vous avez toujours la musique... Alors je vous propose:

"Comme un lundi" par "la Chanson du Dimanche (ce n'est pas La Fleur...)



Avec les paroles


Comment ça va? Comme un lundi
J'sais pas c'que j'ai, j'peux pas travailler
Un p'tit café? Allez, c'est parti
Si c'est permis, c'est vendredi
Tu poses ton pod, t'allumes ton p'tit laptop,
T'as ouvert pleins de docs, et maintenant tchates sur ton blog
Qu'est-ce t'as fait c'week-end? J'ai un peu bossé sur les specs...
Parles par trop à bon voisin tu pues du bec!
Il est déjà 11h00, les dépêches AFP par coeur
T'as relu trois fois tous tes mails, t'as passé une heure sur Google,
Le chef passe dans le couloir, tu cliques la fenêtre rétroplanning
Fini de bosser, on file à la cantine... et tu dis:
Comment ça va? Comme un lundi
J'sais pas c'que j'ai, j'peux pas travailler
Un p'tit café? Allez, c'est parti
Si c'est permis, c'est vendredi
En hélicoptère view, ta prez c'est carrément walhou
Le client est dans l'escalier pipote un coup!
Vous avez trouvé facilement, le business plan c'est win win
Pour les reci c'est go/no go, market feeling
Je veux du slide slide slide, montre-moi ton slide slide slide
Enlève ton slide slide slide, j'ai pas fait de slide slide slide
Pour la propale c'est à la louche, et pour le SWOT tu bottes en touche
Attention tu devrais fermer ta bouche... mais tu dis:
Comment ça va? Comme un lundi
J'sais pas c'que j'ai, j'peux pas travailler
Un p'tit café? Allez, c'est parti
Si c'est permis, c'est vendredi
Attention gauche, droite, en haut, en bas
Tu roules les hanches, tu fais trois pas
Le pied sur l'oeil, l'oreille pliée
Tu fais un bond, tu tapes du nez
Tu plies les ailes, tu bats les pattes, t'es déchaînéééé... et tu fais:
Comment ça va? Comme un lundi
J'sais pas c'que j'ai, j'peux pas travailler
Un p'tit café? Allez, c'est parti
Si c'est permis, c'est vendredi


Ou alors les Mamas and Papas avec "Monday Monday"

 


Ou encore Philippe Katerin: "C'est lundi"



Ou la version de Jesse Garon:




L'on revoit ausi avec plaisir Johan Papaconstantino - Lundi




 
Pour finir, la version du jour de Sofiane:





Bon Dimanche d'heure d'hiver ,et ... bon lundi !

La Fleur du Dimanche

samedi 26 octobre 2019

Les expositions au nord de Strasbourg

Petit voyage d'automne au Nord de Stasbourg, d'abord du côté français avec à Bischwiller, un espace à découvrir, la Vitrine de l'Art - à côté de l'Hôtel de Ville - avec une exposition en solitaire d'un des membres du groupe "Les Individus" déjà vus à Strasbourg, Eve Guerrier qui nous met dans l'ambiance avec "Comme un Lundi": C'est de circonstance... 
Un bel accrochage qui met en valeur ses grands dessins et ses grandes toiles aux belles couleurs osées et aux cadrages originaux et variés. Si vous passez par là, poussez la porte.


Eve Guerrier - Comme un lundi - Photo: lfdd

Eve Guerrier - Comme un lundi - Photo: lfdd


Passons le pont sur le Rhin à Beinheim et allons à Baden-Baden où deux expositiosn nous attendnet (une troisième ouvrira très bientôt à la Kunsthalle), chez Burda Krain Kneffe (photos à venir) et au Museum LA8 à côté (Lichtenthaler Allee) où nous attend une très intéressante expositions sur la volonter de l'homme de voler: "DIE WELT VON OBEN. DER TRAUM VOM FLIEGEN IM 19. JAHRHUNDERT." qui nous présente quantité de documents (photographies, dessins) sur les essais de l'homme pour voler, dont les photographies et plans de l'homme-oiseau Otto Lilienthal ou des pioniers de l'aéronautique, ainsi que des expériences de vols en ballon ou en dirigeable (Zeppelin) qui ont eu lieu à Baden-Baden.
Egalement tout une série d'illustrations sur le rêve de l'homme de voler (Icare, Mercure, etc.,) et de peintures, entre autre de Hans Thoma qui a fréquenté ces explorateurs et scientifiques.


Hans Thoma - Ritt auf dem Vogel - Photo: lfdd

Voici l'appareil de Lilienthal lors de son accident mortel le 10 août 1896:

Otto Lilienthal - 10 août 1896 - Photo: lfdd

Et les affiches vantant les voyages dans les airs:





Au Musée Frieder Burda, une nouvelle exposition: Karin Knefel qui a été l'élève - mais ne l'est plus et a la capacité du maître, expose de superbes - et immenses tableaux. C'est jusqu'au 8 mars 2020. Vous aurez l'occasion d'y aller - et d'y retourner, cela vaut le coup.
Pour vous en donenr envie, une première photo, prise lors de la préparation d'un concert pour le soir...:

Museum Burda - Karin Kneffel - Photo: lfdd


A suivre...

La Fleur du Dimanche


samedi 19 octobre 2019

Il n'y a pas que les foires d'Art, il y a aussi les galeries à Paris

Effectivement à Paris, il y a les foires (cf mon billet "Foires"), il y a les Musées (on en reparlera...), mais il y a aussi les galeries d'art.

Il se peut que vous ayez raté quelques expositions, je vous en montre un choix - non séléctif, au hasard des pérégrinations... Chez Templon, l'expostion principale jusqu'au 19 octobre était consacrée à des travaux "historiques" de Valerio Adami, tandis que dans la galerie annexe présentait les oeuvres de Prune Nourit (vue également sur le stand à la FIAC) et dont le film Serpendity sort sur quelques rares écrans. En voici la bande annonce:




En voici quelques oeuvres:


Prune Noury - Galerie Templon - Photo: lfdd

Prune Noury - Galerie Templon - Photo: lfdd

Prune Noury - Galerie Templon - Photo: lfdd

Prune Noury - Galerie Templon - Photo: lfdd


Chez Nathalie Obadia, rue du Cloitre Saint-Merry, vous verrez le travail engagé de Mickalene Thomas "Jet: beautés du mois" jusqu'au 16 November 2019:

Nathalie Obadia - Mickalene Thomas - Jet: beautés du mois - Photo: lfdd

Nathalie Obadia - Mickalene Thomas - Jet: beautés du mois - Photo: lfdd

Et à l'annexe rue du Bourg-Tibourg, vous aurez jusqu'au 21 décembre pour admirer le travail de vitrail de Sarkis (images à venir...) 




Chez Catherine Putman, vous avez jusqu'au 26 octobre pour voir le travail sur papier de Pierre Buraglio. Qui a fait en papier et en céramique, une nature morte à la banane !


Catherine Putman - Pierre Buraglio - Nature morte bananes - Photo: lfdd
Du côté des Champs-Elysées, à la Galeri Lelong, superbe exposition de Jaume Plensa:

Gallerie Lelong Jaume Plensa - Photo: lfdd

Gallerie Lelong Jaume Plensa - Photo: lfdd

Et pas loin à la Galerie Louis Carré, quelques pépites, entre autres Eduardo Arroyo, François Boisrond, et Marc Brusse avec ses masques et sa pile de 18 assiettes:

Louis Carre - Eduardo Arroyo - Photo: lfdd

Louis Carre - Eduardo Arroyo - Baudelaire côté pile - côté face - Photo: lfdd

Louis Carre - Eduardo Arroyo - Pegy Guggenhim - Bronzino - Photo: lfdd

Louis Carre - François Boisrond - Photo: lfdd

Louis Carre - Marc Brusse - Mask - Photo: lfdd

Louis Carre - Marc Brusse - Pile de 18 assiettes - Photo: lfdd


A Suivre...

La Fleur du Dimanche

vendredi 18 octobre 2019

L'Art à Paris, c'est la Foire: FIAC, ASIA, Internationale, Outsider, Galeristes, Réalités Nouvelles, Bienvenue... à l'Art

L'automne à Paris, en plus de son Festival est aussi une saison de récolte de l'Art Contemporain avec son lot de foires et salons - pas de l'Agriculture, mais de culture des Arts Visuels.

Il n'y a pas que des pommes, il y a aussi des bananes, et vous pouvez faire votre jardinage ou comme Eva et Adèle, vos courses...


FIAC 2019 - BananArt - Genesis Bellanger - Photo: lfdd
Pour information, l'installation de Genesis Bellanger, sur le stand de la Gallerie Perrotin a été remarquée par de nombreuses revues d'art qui en parlent comme d'une "révélation" ( parmi les 10 Artiste féminines à suivre). Et l''installation est à priori le portrait "en creux" d'un président des Etats-Unis....  


FIAC 2019 - Récolte de pommes - Photo: lfdd

FIAC 2019 - Jardinage - Photo: lfdd
FIAC 2019 - Eva et Adèle - Photo: lfdd


Question courses, l'artiste Andreas Eriksson a été acheté à la galerie neugerriemschneider (Berlin)


FIAC - Andreas Eriksson - neugerriemschneider (Berlin) - Photo: lfdd

Allez, une petite fournée supplémentaire à la galerie Almine Rech une peinture de Waughn Spann et un dessin de Tom Wesselmann:


FIAC 2019 - Almine Rech - Waughn Spann - Tom Wesselmann - Photo:lfdd

Et sur un stand le coup de pied de la danseuse:


FIAC - Le coup de peid de la danseuse - Photo: lfdd


Et dans un envol post-accopalyptique les oiseaux en boite de Damien Deroubaix chez Fabienne Leclerc:

FIAC - Fabienne Leclerc - Damien Deroubaix - Wunder der Natur - Photo: lfdd

Et un peu plus loin, chez Anton Kern, les 
Triplettes de Julie Curtiss:




Au secours, l'ocelot de Sean Landers:


FIAC - Galerie Janssen - Sean Landers - Ocelot - Phoo: lfdd

Pour faire une pause entre la poire et le fromage: L'édition "FIAC 2019" de la "Vache qui Rit" a été faite par Daniel Buren. Contrairement aux années précédentes, il faut acheter quelques boites de fromage pour en faire des colonnes de couleurs...


FIAC 209 - la Vache qui Rit - édition de Daniel Buren - Photo: lfdd

Et puis chez Loewenbruck, il y a une armoire de Werner Reiterer à vendre...

FIAC - Loevenbruck - Werner Reiterer - Photo: ffdd 


Mais il ne faut pas "tomber dans le panneau" ni sur le "Twisted Trafic Cone" de Kaspar Müller: 

FIAC - Kaspar Müller - Twisted Traffic Cone - Photo: lfdd

Et attention, Cyndy Shermann vous surveille:


FIAC - Cyndy Shermann - Photo: lfdd

Bon, pour calmer le jeu, je vous offre des fleurs de Corée de Cody Choy:


FIAC - Cody Choi - Photo: lfdd

A prendre avec les gants d'herbe de Cinzia Ruggeri:
   
FIAC -Gal. Campoli Presti - Cinzia Ruggeri - Guanto Erba - Photo: lfdd

Et une superbe petite sculpture en marbre d'Eduardo Chillida - Composition:


FIAC - de Osùa - Eduardo Chillida - Composition - Photo: lfdd

Et pour la chasse, une oeuvre déjà vue au Musée de la Chasse à Paris, de Kohei Nawa: PixCell Deer:


FIAC - Kohei Nawa - PixCell Deer - Photo: lfdd



Autres points de vues sur les stands, une toile de Lee Ufan, Correspondance:


FIAC - Hyundai - Lee Ufan - Correspondance - Photo: lfdd



A la Kerlin Gallery, une toile de Callum Innes:


FIAC - Kerlin Gallery - Callum Innes - Photo: lfdd

Et à la Gallerie Continua les travaux en céramiques de Zhanna Kadirowa, Second hand:


FIAC - Gallerie Continua - Zhanna Kadirowa - Second hand - Photo: lfdd

Et pour ne pas se perdre, le "Point de rencontre":


FIAC - Point de rencontre- Photo: lfdd

Allez, un peu de soleil avec Calder:


FIAC - Giacommetti - Calder  - Soleil - Photo: lfdd

L'art a aussi ses dessous:


FIAC - Unconformities - La FIAC renversante ou les "dessous"  de la FIAC - Photo: lfdd


Et les acheteurs, pour le cultiver se mettent à genoux devant une brouette:


FIAC - Jardinage - Photo: lfdd

Bon un peu de sérieux, revenons aux fondamentaux, FFP : Fontana,Fautrier et Penonne:


FIAC - Galerie Mazzoleni - Lucio Fontana - Concetto Spaziale - Photo: lfdd

FIAC -Galerie Zlotowski - Fautrier - Boite de fer blanc - Photo: lfdd

FIAC - Tucci Russo - Guiseppe Penonne - Photo: lfdd

Et  deux visions du corps: Michel Journiac et Prune Noury que vous pouvez aussi voir à la galerie Templon bis (cf mon billet "Galeries à Paris"): 


FIAC - Loevenbruck - Michel Journiac - Contrat pour un corps - Photo: lfdd

FIAC - Galerie Templon - Prune Noury - Photo: lfdd

Et une paus/pose bien méritée:


FIAC 2019 - Pause - Pose - Photo: lfdd

Au Petit Palais, les expositions de la FIAC Projet:

L'installation d'Erik Dietman et une toile d'Alechinsky:

FIAC Projets - Petit Palais - Erik Dietman - Alechinsky - Photo: lfdd



A suivre...

La Fleur du Dimanche